YUNGBLUD n’a jamais craint d’exposer ses failles. Mais avec “Zombie”, son nouveau single puissant et viscéral, le Britannique Dominic Harrison touche un sommet d’intensité, tant sur le plan musical qu’émotionnel !
Accompagné d’un clip événement porté par l’actrice britannique Florence Pugh, l’artiste dévoile une nouvelle facette de sa sensibilité et confirme l’arrivée imminente de son quatrième album double, IDOLS – dont la première partie paraîtra le 20 juin.
Dévoilé pour la première fois lors d’un concert intime au Scala de Londres en mars, “Zombie” s’impose aujourd’hui comme un véritable hymne pour tous ceux qui se débattent avec le sentiment de déchéance ou d’inadéquation. Ballade rock portée par la voix tourmentée de YUNGBLUD, des arrangements bouleversants et la présence magistrale du London Philharmonic Orchestra, le morceau frappe par sa sincérité à fleur de peau.
Inspirée à l’origine par l’épreuve traversée par sa grand-mère – victime d’un grave accident ayant bouleversé sa personnalité – la chanson élargit sa portée à une réflexion sur l’isolement, la peur de devenir un poids, et la lutte contre l’image de soi. “C’est sur la sensation de détérioration et de laideur“, confie l’artiste, évoquant sans détour ses propres combats contre les troubles alimentaires et la dysmorphie corporelle. “On ferme la porte au monde et à ceux qu’on aime, par peur de devenir un fardeau ou une honte.“
La force de “Zombie” réside dans sa capacité à mettre des mots sur ces failles universelles, mais aussi à offrir un espoir fragile : “On a tous besoin de quelqu’un ou de quelque chose pour nous réconforter, peu importe qui l’on est ou ce que l’on devient“, résume YUNGBLUD, sans masquer l’effroi de se dévoiler ainsi.
Pour accompagner ce titre, YUNGBLUD a frappé fort en invitant Florence Pugh (Oppenheimer, We Live In Time) à tenir le rôle principal du clip officiel, dévoilé ce 30 mai. L’actrice britannique y incarne une soignante au bord de la rupture, submergée par le chagrin et l’épuisement. Un rôle taillé sur mesure, qui permet à Pugh d’exprimer toute la palette de son jeu, de la colère à la fragilité, face à la caméra de YUNGBLUD.
La rencontre entre les deux artistes, teasée depuis des semaines sur les réseaux sociaux, prend ici une dimension déchirante : la performance de Florence Pugh sublime le propos du morceau et illustre avec une intensité rare la détresse, mais aussi l’espoir, qui irriguent “Zombie”.
“Zombie” succède à “Hello Heaven, Hello” et “Lovesick Lullaby“, et s’inscrit dans la lignée de cette nouvelle ère, plus mature et plus nuancée, pour YUNGBLUD. L’album IDOLS, décrit par l’artiste comme son projet “le plus ambitieux“, viendra confirmer cette évolution le 20 juin prochain. Un disque qui, selon toute vraisemblance, devrait marquer un tournant dans la carrière déjà météorique du jeune phénomène du rock moderne.
L’ouragan YUNGBLUD s’apprête à déferler sur la France à l’automne prochain dans le cadre de sa tournée IDOLS The World Tour. Au programme : un passage à l’Adidas Arena de Paris le 8 octobre, suivi d’une date au Zénith Nantes Métropole le 9 octobre. Les billets sont disponibles dans les points de vente habituels.
Sur scène, attendez-vous à un séisme : énergie brute, communion avec le public et prestations viscérales sont la marque de fabrique d’un artiste qui va jusqu’à créer son propre festival, le BLUDFEST, pour repousser toujours plus loin les frontières de l’expérience live.
Prêts à affronter la tempête YUNGBLUD ? Avec “Zombie” en étendard et IDOLS en ligne de mire, l’automne s’annonce incandescent.
