
Machine Head prépare son retour en France au printemps prochain pour une nouvelle offensive scénique qui s’annonce aussi massive qu’attendue !
Trois ans après sa dernière visite dans l’Hexagone, les légendes d’Oakland reviendront défendre sa formule An Evening With Machine Head, un format unique taillé pour les fans les plus fervents : près de trois heures de metal incandescent, de pits déchaînés et de refrains scandés comme des cris de guerre. Un marathon sonore qui ne laisse aucune place au hasard et rappelle, s’il le fallait, pourquoi Robb Flynn et sa troupe restent parmi les formations les plus incontournables de leur génération.
Dans le cadre de sa tournée européenne et britannique, la formation fera escale pour quatre dates en France : Marseille ouvrira les hostilités le 23 avril à l’Espace Julien, suivie par Toulouse le 24 avril à l’Interférence. De retour à Paris le 2 mai, Machine Head investira L’Olympia pour une soirée déjà promise à l’anthologie, avant de conclure cette série à Strasbourg le 3 mai à La Laiterie. Une salve nationale rare, resserrée, pensée pour embraser chaque salle avec l’intensité frontale qui caractérise le groupe depuis plus de trois décennies.
Depuis 1991, Machine Head s’impose comme une force brute, un pilier du metal moderne ayant façonné son identité autour de riffs acérés, de grooves implacables et d’une aura sonore qui n’a rien perdu de sa hargne. Propulsé au premier plan avec l’incontournable Burn My Eyes en 1994, le groupe n’a cessé de redéfinir la lourdeur à sa manière, mélangeant influences et expérimentations sans jamais céder aux tendances. Sa longévité tient à cette détermination farouche : rester indépendants, évoluer en permanence et continuer, encore aujourd’hui, à tout balayer sur son passage.
Avec la promesse d’un set fleuve, d’une énergie brûlante et d’un lien toujours intact avec son public, Machine Head s’apprête à offrir à la France l’un des rendez-vous metal les plus marquants de 2026.
Les billets seront disponibles à partir du 27 novembre à 10h sur aegpresents.fr.
Une certitude : lorsque la machine se remet en route, mieux vaut ne pas rester sur le bas-côté







