Black Veil Brides fait son grand retour avec “Hallelujah”, un morceau aussi lourd que symbolique, premier aperçu de son prochain album à venir !
Un an après l’EP Bleeders, le quintette mené par Andy Biersack lève le voile sur une nouvelle ère artistique, plus viscérale, plus brute, et plus honnête que jamais.
Produit par Biersack lui-même et le guitariste Jake Pitts, le titre sort via le label Spinefarm et marque un retour aux racines les plus abrasives du groupe. Guitares tranchantes, growls rugueux et montée en puissance chorale portée par le One Voice Ensemble de Tampa : “Hallelujah” se présente comme une véritable déclaration d’intention, aussi spirituelle que sonore.
Si le morceau frappe fort par son intensité sonore, il porte également une dimension narrative profonde. Andy Biersack s’y confie sur les tensions sociétales actuelles et le besoin urgent de sincérité : “Je suis fasciné par l’état actuel du discours public, par cette tendance à privilégier les certitudes idéologiques au détriment de l’humanité et de l’authenticité. Ce disque est notre manière de dire que l’honnêteté envers soi-même est plus importante que la peur de la réprobation collective.”
Un message fort, dans la droite lignée du manifeste fondateur du groupe en 2010, où la voix du grand-père de Biersack s’adressait aux “marginaux” dans les premières secondes de “We Stitch These Wounds”. Quinze ans plus tard, le frontman voit “Hallelujah” comme une évolution naturelle de cet appel aux armes.
Accompagné d’un clip animé réalisé par Marco Pavone (The Black Dahlia Murder, Pink Floyd, Shadow Of Intent), “Hallelujah” bénéficie d’un univers visuel sombre et stylisé, pensé pour renforcer l’impact émotionnel du morceau. Et ce n’est que le début : d’autres contenus visuels viendront étoffer l’univers de cette nouvelle ère dans les semaines à venir.
Avec “Hallelujah”, Black Veil Brides ne se contente pas de renouer avec la rage : il la sublime dans un manifeste sonore qui annonce un album plus intense, plus engagé, et plus introspectif que jamais. L’attente ne fait que commencer.
